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QJP : entraînement et cycle menstruel Nike FR


En Sport, quelles hormones sont stimulées ? Le Studio
L’effort musculaire s’accompagne de profonds changements hormonaux, ceux-ci sont intimement liés à la réalisation de la performance donc à la réussite sportive. La meilleure méthode pour commencer à adapter vos entraînements à votre cycle est de tenir compte de vos sensations sur deux ou trois mois d’entraînements et de vous rendre compte des réactions de votre corps quand premier signe testosterone (https://distk.fr) vous repoussez vos limites. Vous saurez alors quand votre corps est en mesure de se surpasser et quand il a besoin de plus de douceur. Il est très important de constater que le risque de blessure varie d’un cycle menstruel à l’autre, insiste Mme Blodgett.
Les hormones sont des molécules chimiques fabriquées et sécrétées par des glandes endocrines. Elles transmettent des messages, commandent des actions à des organes, des cellules, d’autres glandes et rétroagissent, contrôlant l’équilibre hormonal de l’organisme. La sérotonine est un neurotransmetteur qui, lorsque son taux est suffisamment élevé, permet de ressentir des sentiments de bonheur, d’avoir un sommeil récupérateur et un appétit régulé. Les endorphines nous rendent heureux, europhiques et stoppe toute sensation de douleur, ce qui permet d’être endurant sans ressentir d’inconfort pendant l’exercice. Se pose le difficile problème de l’athlète porteur d’un déficit qui est très rare et résulte à l’âge adulte d’un traumatisme cérébral (commotion cérébrale ou choc direct), d’un syndrome de Sheehan ou d’une irradiation de l’hypophyse et la tige pituitaire. Son abus est assez fréquent même s’il existe des doutes sur une réelle efficacité. On le retrouve surtout chez les haltérophiles, les joueurs de baseball, et semble utilisée chez les tout jeunes futurs athlètes pour stimuler la croissance.
L’IAAF maintient néanmoins l’existence d’un seuil maximal de testostérone autorisé chez les « dames » dans son nouveau règlement de 2018, et en abaisse même la valeur de moitié du 400 mètres au miles. “Le rire est l’un des actes qui libèrent de la sérotonine et des endorphines. Dans une juste mesure, prendre la vie avec humour n’est pas seulement drôle, mais réduit également le taux de cortisol et les substances anti-inflammatoires”, explique le Dr Mera, qui n’exclut pas le recours à des séances de thérapie par le rire. Sinon, regarder une comédie ou favoriser les relations sociales qui nous font du bien sont toujours des valeurs sûres.
Les efforts physiques intenses peuvent affecter la production et le niveau circulatoire des hormones dans l’organisme. Ces modifications hormonales sont le plus souvent des mécanismes adaptatifs, préservateurs, régénératifs et globaux du corps qu’il faut savoir respecter car ils sont mis en place pour maintenir l’homéostasie de l’organisme. Les principaux systèmes hormonaux concernés sont la vitamine D, la thyroïde, l’hormone de croissance, la fonction gonadique, le cortisol, l’insuline. Tous ces systèmes sont complexes, une hormone peut avoir plusieurs effets sur les différents métabolismes et plusieurs hormones peuvent agir sur plusieurs tissus.
Aujourd’hui encore, le cycle hormonal féminin est un sujet tabou et c’est bien dommage. Il vaut la peine d’en parler ouvertement pour que chacune puisse se sentir mieux, qu’il y ait une compréhension et une réflexion communes. Le sport de haut niveau, en particulier, aurait beaucoup à gagner à démystifier ce tabou. Dans cet article, nous nous intéressons à la meilleure manière de coordonner l’entraînement avec le cycle hormonal féminin et quels en sont les avantages. Une alimentation riche en nutriments essentiels, comme les acides gras oméga-3, les vitamines et les minéraux, est indispensable pour soutenir la production hormonale et favoriser la récupération.
En tant que coach sportif depuis plus de dix ans, j’ai pu observer à quel point la compréhension de ces mécanismes hormonaux peut aider à optimiser l’entraînement. Par exemple, en variant l’intensité et la durée des séances, on peut stimuler différemment la production de ces hormones et par suite obtenir des résultats plus ciblés. Elle fait d’ailleurs partie de la célèbre famille des hormones du bonheur, au même titre que la dopamine, la sérotonine et l’ocytocine. Les endorphines sont sécrétées de manière importante lorsque le corps est soumis à une situation de stress physique ou psychologique. La quantité d’endorphines augmente pendant l’exercice et atteint 5 fois les valeurs de repos, 30 à 45 minutes après l’arrêt de l’effort. Le taux d’endorphine est directement lié à l’intensité et à la durée de l’exercice, mais aussi à l’activité physique.
Leur variation à la suite d’une activité physique se ressent sur le mental. La préconisation des auteurs est de faire une supplémentation systématique dans ce groupe de sportifs. Si vous souffrez d’endométriose, vous trouverez peut-être que faire de l’exercice peut atténuer vos symptômes.
Cette action est particulièrement bénéfique pour les personnes souffrant de troubles anxieux ou dépressifs. Le cortisol, bien qu’indispensable pour gérer les situations stressantes, peut avoir des effets néfastes lorsqu’il est produit en excès sur de longues périodes. Une concentration élevée de cortisol peut provoquer de l’inflammation, de la fatigue, et même affaiblir le système immunitaire. La bonne nouvelle est que l’exercice modéré permet de réguler cette hormone.
Nous espérons que notre site vous aidera à atteindre vos objectifs de remise en forme de manière sûre et efficace, mais nous ne pouvons garantir de résultat spécifique. Une femme produit donc entre 4 à 20 fois moins de testostérone qu’un homme mais il y a de très rares exceptions. Une production supérieure à la normale pour une femme risque d’entrainer des troubles physiologiques et psychiques. On ne doit quand même pas accorder aux endorphines des pouvoirs qu’elles n’ont pas.
En trop grande quantité dans le corps, elle provoque des troubles physiologiques et psychiques importants ! D’où la nécessité de se contenter de la testostérone naturelle que notre corps libère lors de l’effort. Lorsque nous faisons du sport ou n’importe quel effort physique, nous plaçons notre corps en situation de stress. Imagine qu’un rugbyman de plus de 100kg fonce droit sur toi pour te plaquer.